Au cours des derniers mois, j’ai été confronté à quelques reprises aux règles rigides de certains serveurs mandataires, à la «censure par proxy»*. À chaque fois, ces barrières numériques m’ont empêché de faire mon travail convenablement.
Alors que je souhaite présenter aux enseignants et aux conseillers pédagogiques avec qui je travaille des solutions en ligne, gratuites ou à faibles coûts pour favoriser l’apprentissage de la langue, des personnes bien pensantes décident, et ce, souvent, de façon très arbitraire, de fermer les portes sur le savoir et la connaissance.
La plupart du temps, les personnes responsables des réseaux posent ces gestes avec un rationnel protectionniste… protéger la bande passante, protéger les données des serveurs et surtout, surtout protéger les usagers. Continuer la lecture