Voici un extrait d’un texte que j’ai lu hier grâce à @Aurise.
«Je milite pour une école de la culture – et pas seulement des compétences -, de l’émancipation – et pas seulement de l’évaluation -, de la solidarité – et pas de la concurrence effrénée.»
Voilà qui me convient. Je me reconnais dans ce propos. Il m’inspire. Je constate sa pertinence à chaque fois que je vais dans des classes où je vois des enseignants engagés dans le paradigme de l’apprentissage AVEC leurs élèves.
Ce propos il vient d’un texte de Philippe Meirieu, intitulé Cesser d’arroser là où c’est mouillé, paru sur le site du Café pédagogique.
J’en fais mon credo!